10 TRANSPORTS ET INFRASTRUCTURES
2011 2012
AERODROME HELISTATION 83 400
AMENAGEMENT ET SECURITE POINTS D'ARRETS 40 000
AQUISITION MODERNISAT° MATERIEL ROULANT 410 000 23 200 000
EQUIPEMENTS TRANSPORTS COLLECTIFS 257 000
FEDER 2007-2013 TRANSPORTS FERROVIAIR 1 000 000 2 280 000
INFORMATION VOYAGEURS 225 000
INFRA. FERROVIAIRES CPER 2000-2006 250 000 1 000 000
INFRASTRUCTURES DIVERSES POL.TERR. 2 000 000 1 129 000
ITINERAIRES STRUCTURANTS HORS RN 3 000 000
INTERMODALITE MODE DOUX EXPERIMENTATION 430 000
INTERMODALITE TARIFAIRE 25 000
LGV BORDEAUX TOURS 14 300 000 19 900 000
LIGNE GRANDE VITESSE 550 000
LONGUEUR DES QUAIS 100 000
MATERIEL TECHNIQUE 65 000
MISE EN ACCESSIBILITE DES RESEAUX 400 000
PLAN DEVELOP. MODERNISATION ITINERAIRES 27 000 000 15 000 000
PLAN RAIL 42 500 000 3 200 000
PROSPECTIVE FLUX TRANSPYRENEENS 350 000
SECURITE PASSAGE A NIVEAU 100 000
SUIVI DES TRANSPORTS 500 000 1 200 000
Il faudrait assurer un suivi global de la question pour tout comprendre. Observons d’abord que ces données ne sont pas très explicites et que le détail donné dans le budget (il s’agit là des têtes de chapitre) est encore plus obscur ! On y apprend que les dépenses concernent le ferroviaire, la route nationales et départementales et l’aérien. L’aérien tombe de 955 000 à 225 000 euros.
Pour ma part je me contente d’observer l’effondrement du Plan rail et la montée en puissance de la dépense LGV qui à présent à deux lignes.
La seconde ligne LGV était déjà là avant Bordeaux-Tours mais avait disparu en 2011. Elle concerne l’argent dépensé depuis longtemps pour les études de Bordeaux-Toulouse.
Les données en euros sont des autorisations de paiement (AP).
Peut-être quelques personnes pourront apporter des éclairages supplémentaires d’autant qu’il y a d’importantes évolutions des chapitres. 22-02-2012 Jean-Paul Damaggio